C'était la dernière lettre de l'alphabet, après le z. Les écoliers terminaient leur "oraison", désignant ce signe (d'origine latine) qu'on trouve en paléographie : "es per lou et", c'est-à-dire, cette lettre vaut et remplace èttt, le t étant prononcé. En imprimerie : le "et commercial", qu'on trouve dans : "Smith & sons", par exemple. |
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